L’impact écologique des vêtements

L’industrie de la mode est l’une des plus polluantes à l’heure actuelle. Si vous pensez savoir de quelle manière l’industrie de la mode pollue réellement, repensez-y quelques instants. Nous vous dévoilons dans cet article toute les raisons pour lesquelles la mode impacte négativement l’environnement, mais surtout toutes les manières dont des marques s’engagent pour lutter contre cette production abusive de pollution.

Le problème du transport :

Ce problème n’est pas unique à celui de la mode, mais aux produits créés en masse de manière générale. Le transport des matériaux, jusqu’aux usines de fabrication de vêtement, en passant par l’acheminement des points de vente, pollue énormément. Pour éviter ce type de pollution, le mieux est de choisir des marques locales, fonctionnant en circuit court.

Le problème est que le manque de traçabilité des habits est quelque chose de récurrent et dominant sur le marché de la mode. De manière générale, on ne vous présente pas toutes les informations nécessaires pour savoir si la fabrication de votre habit respecte réellement l’environnement ou non.

Heureusement, certaines marques s’engagent réellement à avoir un bilan carbone nul, au moins dans le domaine du transport de leurs habits, tel que https://www.na-kd.fr/fr par exemple.

Transformation des matières :

Le deuxième plus gros problème que l’on peut soulever dans le domaine de la mode est celui de la transformation des matières utilisées pour créer les vêtements. Cela est notamment le cas pour les matières synthétiques. Ces matières doivent être traitées avec une multitude de produits chimiques, se déversant dans l’eau mais aussi dans l’air, une fois que le vêtement est créé.

La plupart des vêtement et chaussures aujourd’hui sont fabriqués dans ces matières, qui sont de mauvaise qualité. Le fait qu’ils soient moins durables engendre que vous devez également changer plus souvent vos vêtements, et polluer encore plus. Le choix d’une matière écologique telle que le coton vous assure au moins un minimum de durabilité de ce côté-là. Le coton est bien sûr lui aussi traité, mais au moins il ne subit pas les mêmes types de traitements par lesquels peuvent passer d’autres types de matières artificielles et polymérisées.

Le gaspillage et la surconsommation :

Depuis les années 2000, les habits sont devenus des objets de consommations de masse effroyables . Les gens achètent deux fois plus de vêtement qu’auparavant et les jettent dans plus de 80% de cas. Ces habits devenus déchets déversent alors leurs micro-plastiques dans la nature, dans le sol et l’air.